Qu’ en est-il des mesures envisagées alors que le gouvernement organise une ouverture progressive de la restriction le 11 mai ? Que savons-nous de la contagiosité des enfants ? Quels sont les problèmes liés au dépistage ? Qu’en est-il des changements futurs dans Covid-19 ? Il va passer l’été ? Et la deuxième vague ? Mise à jour sur les connaissances scientifiques actuelles.

Le gouvernement a annoncé une réintégration générale le 11 mai, avec une stratégie de sortie de confinement qui confirme que le priorité est la préservation des profits, et non la santé de la population. Une seconde vague de contagion semble inévitable de la confession de certains spécialistes et rien ne semble donner à ce moment où ralentirait sa progression une fois l’hiver passé ( à Donald Trump). Une autre préoccupation qui est exprimée serait la Taux de mutation SARS-COV-2 qui prédit l’apparition d’une souche virulente que celle dans laquelle nous vivons maintenant. Mais le lien entremutation (rapide ou non) du virus et sa virulence n’est pas prouvée et non n’a pas nécessairement de sens si nous nous référons au processus de sélection naturelle de la théorie de l’évolution.

Qu’ en est-il de la stratégie de sortie annoncée par Macron ?

Le nombre de nouvelles infections en France semble diminuer, nous ont dépassé le pic de l’épidémie depuis la semaine du 6 avril. Macron a annoncé une sortie pour le 11 mai.

Premièrement, il convient de noter que le démantèlement aura lieu plus tôt pour de nombreux travailleurs, car il ne s’agit plus d’activités essentielles, mais de celles qui peuvent fonctionner dans des gestes de barrière. Il suffit de dire que le travail dans de nombreuses entreprises reprendra dès la semaine du 20 avril, avec sa part de personnes infectées, sur le lieu de travail ou dans les transports publics. Nous nous référons ici au communiqué général de l’UCL [1].

Ensuite, il y a la question de la protectionéquipement : aura assez le 11 mai, et maintenant pour les secteurs qui à prendre le relais ? Cela peut être sérieusement remis en question lorsque l’accès à l’équipement est encore sous pression dans de nombreux hôpitaux.

La réouverture des crèches, des écoles, des collèges, des écoles secondaires a pris tous les monde court. Il est admis que les enfants dans la majorité des cas asymptomatiques, de sorte que le virus n’est pas dangereux pour eux (moins de 10 enfants de moins de 15 ans sont morts d’un coronavirus en le monde depuis le début de l’épidémie), bien qu’il soit très transmis rapidement entre eux, car il est difficile de les forcer à gestes de barrière.

La réouverture des écoles

La question en cours de discussion est de savoir s’ils sont contagieux, et cette question se pose dans le monde entier pour tous les porteurs asymptomatiques. Le professeur Raoult aurait pesé Macron sur la décision de rouvrir les écoles [2] (rappelons que Macronlui a rendu visite le 10 avril). Néanmoins, son étude sur le sujet ne dit que deux choses : que les enfants ne sont pas symptomatiques, et leur charge virale n’est pas supérieure à celle des adultes, ce qui ne signifie pas qu’il est inférieur !

Ainsi, les enfants pourraient attraper massivement le virus dans écoles et de transmettre à leurs parents, grands-parents etc. encore un temps professeur Raoult favorisait la communication, sans le moindre base scientifique, avec des conséquences qui peuvent être dramatiques. Et Macron est heureux de trouver des arguments pseudo-scientifiques à l’appui de la présente décision, dont le seul objet est de renvoyer la Les parents au travail.

Attente d’en apprendre davantage sur la contagiosité des enfants et symptômes de asymptomaticain général devraient avoir le principe de précaution prévalent : les écoles doivent avoir été laissées fermées, qui presque tous les scientifiques ont recommandé. En outre, les gestes barrières devront êtrerespectés au sein des institutions, qui est plus que complexe et ne sera probablement pas prêt pour le 11 mai.

Confinement de longue durée des personnes âgées

Les contraintes seront maintenues pour ceux qui sont « à risque ». Mais nous ne savons pas, par exemple, à quel âge il sera imposé : 70, 65, 60 ? Cela affectera les travailleurs âgés. Le Conseil scientifique estime que 18 millions de personnes sont en danger [3], ce qui n’est donc pas une petite question.

La question épineuse des tests et du dépistage

Macron a annoncé le dépistage pour les humains seulement symptomatique. Cette décision, bien sûr, est guidée par l’absence de capacité de production des essais. En tout cas, il y a un consensus Conseils scientifiques sur le fait que les tests des personnes symptomatiques sont presque inintéressant, parce que nous savons déjà qu’ils sont malades, le Les tests ne confirment que s’il s’agit du Covid-19.

Il est essentiel de se concentrer sur ledépistage des personnes contacts de la personne infectée (famille, collègues, voisins, etc.) À déterminer s’ils sont malades avant l’apparition des symptômes ; qui permet d’économiser un temps précieux sur la propagation de L’épidémie. La question se pose également des tests de masse certaines populations : soignants, enfants, population dans une zone « grappe », ou même tous ceux qui veulent être testés.

Cependant, le gouvernement envisage une application de recherche des contacts qui permet d’effectuer des enquêtes de dépistage numériquement, et donc plus rapidement. Cela semble incompatible avec le fait detest seulement symptomatique. Mais surtout, cela soulève un certain nombre de questions, tant sur l’efficacité que sur le coût en termes de libertés individuelles [4], et nous reviendrons sur ce sujet dans un prochain article.

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Macron a discuté des tests sérologiques, expliquant que seul un une petite partie de la population sera infectée et sera donc vaccinée. qui semble suggérer que cetteles tests sont inutiles. Le Conseil scientifique appelle une partie de la vaccination « peut-être autour 10 -15% » mais basé sur des tests effectués dans l’Oise et le Grand-Est, donc zones qui ont été gravement touchées. Donc, nous sommes probablement très loin, sur l’échelle du pays, d’environ 60% nécessaire pour atteindre immunité de groupe.

Depuis combien de temps sommes-nous immunisés ?

En outre, rappelez-vous que la durée de l’immunité aujourd’hui est inconnu, mais probablement de l’ordre de quelques mois. La question reste pour déterminer la proportion d’asymptomatiques. La France ne va donc pas faire, pour des raisons obscures, mais l’Allemagne est tout façons dans le processus de mener des études sur le sujet. L’autre importance de cette tests sérologiques serait de pouvoir « utiliser » populations vaccinées pour des tâches avec les patients, qui pourraient, en particulier, avoir un intérêt pour les aidants naturels et données personnelles d’Ehpad. Il y apas non plus d’annonce.

Macron n’a rien dit à propos de la chloroquine, sauf que toutes les indications ont été examinés, ce qui est compatible avec, par exemple, l’étude Découverte de l’Inserm, qui teste 5 molécules.

Un virus virulent peut ne pas être plus dangereux

En relation avec les questions entourant la deuxième vague, des craintes sur les mutations possibles du virus sont parfois exprimées. Le coronavirus SARS-COV-2, comme tout autre virus, mute très rapidement. Cependant, il convient de noter que chez les virus, le taux de mutation SARS-COV-2 semble être assez faible : en moyenne 2 mutations par mois [5]. Mais la question n’est pas de se tromper : la question n’est pas de savoir si une mutation qui rend le virus virulent peut exister (la réponse est triviale oui), mais si une telle mutation (virulente) a une réelle chance d’être le gagnant du processus de sélection naturel.

En effet, les fonds disponibles pour le coronavirus — en l’événement, lepopulation humaine mondiale — sont limitées, et la sélection naturelle pousse donc le virus à s’adapter pour survivre. Dit sinon, une mutation du virus qui le rendrait incapable de diffuser, polluer ou reproduire de nouvelles personnes ; disparaîtrait dès que le premier cas infecté est récupéré. Au contraire : afin qu’une mutation ait la plus grande chance de s’ajuster, et c’est fréquence dans la population de virus augmente, il est nécessaire que la mutation fournit ce qu’on appelle un avantage sélectif : une meilleure infection, réplication plus rapide, etc.

En abordant la question de cette façon, il est préférable de comprendre pourquoi le virulence d’un virus, définie comme sa capacité à rendre l’hôte malade ; ou même conduire à la mort, n’est jamais un avantage pour le virus Lui-même. Un hôte malade bouge moins, sera moins en contact avec d’autres hôtes potentiels et — en cas de préoccupation — peut mêmefinissent en isolement cellulaire dans un service de réanimation. Tout le contraire d’un ajustement réussi.

Une adaptation réussie, pour un virus, est au contraire le moins virulent possible, pour rester inaperçu et être en mesure de répliquer tranquillement et se propager. C’est l’un des grands « avantages » de SARS-COV-2.Pas toutes les personnes atteintes du virus ont nécessairement symptômes, qui affectent sa propagation dans le population.

La

virulence est, pour un virus, une conséquence secondaire indésirable. Quand il augmente, c’est parce qu’il est lié à un autre du virus qui, à son tour, est sélectionné par l’évolution — comme comme le fait que le VIH, en se répétant dans l’organisation, affaibli la défense immunitaire.

Cependant, les mutations continues du coronavirus SARS-COV-2 n’ont pas de le moment aucune raison de passer à plus de virulence ou létalité : son « succès » est jusqu’à présent remarquable et trèspeu d’obstacles se dressent sur la voie de Lui. Les virologues et les épidémiologistes envisagent pour le moment qu’une « nouvelle souche plus virulente » est peu susceptible de se manifester dans un proche avenir. Si évolution et la sélection devrait être à court terme, alors il est nécessaire de préfèrent s’attendre à ce qu’ils poussent à une meilleure vitesse de (le nombre moyen de personnes infectées par le virus dans une jour). En effet, le coronavirus est encore loin d’infecter un la population mondiale et, dans un sens, encore baigné dans une piscine hôtes potentiels. Une mutation qui lui permettrait de propagation aurait, il, pour le coup d’Etat un réel avantage sélectif.

Un armistice estival du virus Corona ?

De

l’autre côté de l’Atlantique, Donald Trump a déclaré il y a plusieurs semaines que le virus ne pouvait pas survivre en été, soutenu par une poignée de scientifiques chinois, et en imitationde la rumeur qui voudrait que le virus ne supporte pas la chaleur. Est-ce que le virus disparaîtrait effectivement en été, et quels sont les éléments à l’origine de cette hypothèse ?

Antoine Flahault, directeur de l’Institut de santé globalde Genève et l’infectiologue Anne-Claude Crémieux, ont déclaré en février qu’il n’est pas possible de prédire si le virus sera affecté ou non par des saisons comme d’autres virus connus [6].

Pour d’autres virus, les raisons de cette saisonnalité sont multiples. Tout d’abord, ils se gardent mieux sur les mains et le surfaces inertes dans un environnement froid et sec aussi avancé Olivier Schwartz, Directeur de l’Unité Virus et Immunité de l’Institut Pasteur, et Frédéric Tangy, responsable du Laboratoire de Génomique Virale et immunisation à l’Institut Pasteur. Jeremy Rossman, professeur. de virologie à l’Université du Kent, au Royaume-Uni, ajoute quela durée de la Le soleil en hiver provoque une carence en vitamine D et mélatonine, et que l’air sec de cette période réduit l’efficacité de mucus nasal, ce qui affaiblit le système immunitaire et le rend plus perméable aux virus et aux infections.

Anne-Marie Moulin (chercheuse au laboratoire SPHERE du CNRS) explique que ce ne sont que des réflexions, par analogie avec des virus connus, sans rétrospective du comportement de Covid-19. Il semble que aussi que d’autres paramètres, tels que le vent, affectent répartis de manière significative sur une grande échelle, ce qui complique analyse du comportement saisonnier des virus et des infections. Scott Dowell (épidémiologiste dirige le développement et la surveillance Vaccins pour la Fondation Bill & Melinda Gates) indique que le saisonnalité des virus n’est pas vraiment bien compris et qu’il est d’un axe de recherche important dans le domaine de l’épidémiologie.

Selon Covid – 19, une étude de l’Université de Beihang,La Chine, le 3 mars 2020, a souligné qu’un environnement chaud et humide accélérait l’évaporation des micro-gouttelettes responsables de la propagation de Covid-19, ce qui ralentirait considérablement la pollution [7]. David Heymann, de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, relativise que les preuves propres à la pandémie que nous vivons ne sont pas suffisantes pour tirer des conclusions sur sa saisonnalité. En outre, les tests pour le coronavirus indiquent une résistance à la chaleur relativement élevée par rapport à d’autres virus [8]. Les auteurs soulignent également que l’infection à Singapour, en Australie et sur le continent africain montre clairement que le virus se propage quel que soit le climat. Lorsque les deux hémisphères du globe sont affectés, on ne peut pas s’attendre à un effet significatif des saisons sur la vitesse de reproduction.

En conclusion, il est difficile de penser que l’été va ralentir le virus, et les diversLes interventions scientifiques indiquent que l’histoire n’a pas d’épidémie ou de pandémie majeure qui a cessé de changer les saisons [9]. Laisser la vigilance à la santé du virus sous prétexte que la chaleur estivale en adoucir la propagation prendrait un risque qui aurait des conséquences désastreuses.

Et la deuxième vague ?

Le 23 janvier, la Chine a déclaré la réduction de la population après l’accélération catastrophique de l’épidémie de Coronavirus (Covid-19, SRAS-COV-2), en particulier dans la province de Wuhan, considérée comme comme le premier foyer infectieux. Deux mois plus tard, le 25 mars, le le déconfinement est amorcé, à l’exception de la province de Wuhan qui a dû attendre le 6 avril. La presse envoie massivement le retour à un activité normale de la population rapidement étonné par tout le territoire. Cependant, une nouvelle augmentation du nombre de (55 nouveaux cas dans la province de Henan dixau nord de Wuhan) provoque le gouvernement chinois à craindre l’arrivée d’une seconde vague d’infection sur laquelle leur système de santé ne serait pas préparé.

Ailleurs en Asie du Sud-Est, où l’épidémie semblait également avoir été endiguée, une nouvelle explosion du nombre de cas a déjà conduit la Malaisie et Hong Kong à relancer un plan de lutte. Cette réaction semble être conforme aux recommandations de l’OMS selon lesquelles cette région du monde « mène une lutte violente contre l’épidémie » [10] afin de ne pas entraîner l’effondrement de ses systèmes de santé.

Sur place, des experts tels que Zhong Nanshan, chef d’équipe des experts chinois à Covid-19, estime qu’il peut être attribué aux voyageurs européens, ou au retour des expatriés de pays Impliqué. Ils assurent que l’épidémie sera terminée en avril et que l’épicentre de la pandémie est déjà aux États-Unis où Decovid-19 estsemant des ravages.

Cependant, d’autres événements peuvent être à l’origine de ce rebond de l’épidémie. Un rassemblement religieux de 16 000 personnes à Kuala Lumpur aurait pu conduire à l’émergence d’une nouvelle épidémie infectieuse et à la reprise de l’infection, en particulier en Malaisie. Cette nouvelle vague d’infection remet également en question le faible nombre de patients signalés par la Birmanie et le Laos, pays frontalier de la Malaisie, et donc la fiabilité de ces chiffres. Cependant, la raison du rebond du nombre d’infections est plutôt le pourcentage réduit de ces populations immunisées contre le virus ou à la suite de tests de mauvaise qualité qui auraient produit de faux positifs [11].

D’ autres déclarations épidémiologiques semblent plus pertinentes [12].

Benjamin Cowling, épidémiologiste à l’Université de Hong Kong, considère que la deuxième vague de contagionas est « totalement inévitable » et parle en particulier de« propagation silencieuse » se référant à des personnes infectées mais asymptomatiques libéré en masse après la libération. Ma Jin, directrice de l’école de l’Université Jiaotong à Shanghai, l’annonce ainsi que « la lutte contre le coronavirus sera une lutte à long terme ».

Matthieu Revest, de l’Université de Rennes-I, estime qu’une seconde vague d’infection est inévitable, mais il sera moins intense que celle que nous connaissons actuellement. Antoine Flahault et François Bricaire, chef du département Maladies Infectieuses de la Dommage Salpêtrière, indique, par exemple, que la grippe espagnole a fait 50 millions de morts en trois vagues sur deux ans entre 1918 et 1919.

Les simulations numériques prévoient déjà une deuxième vague de contamination massive à la fin du mois d’août en Chine que les mesuresne sont pas pris. D’autre part, si le confinement a été poursuivi jusqu’à la fin de la mois d’Avril, ce retour de l’épidémie peut être reporté par deux mois.Bien que ces modèles aient leurs limites, ils semblent indiquer que le confinement, et les mesures sanitaires en général, pas ne doit pas être interrompu avec le risque de provoquer une seconde vague contamination qui pourrait être très problématique pour nos systèmes santé déjà surchauffé.

Concluons par cette étude récente de l’Inserm [13] sur différents scénarios de sortie du confinement en Île-de-France. Afin de reporter une nouvelle inclusion à janvier 2021, le suivi des contacts devrait être relativement efficace, alternant entre des mesures « légères » (fermetures d’écoles, réduction des personnes âgées, télétravail privilégié) et des mesures « de taille moyenne » (fermeture d’une demi-année) d’activités non essentielles, etc.). Qu’il suffise de dire que nous sommes loin d’une telle stratégie.

Groupe de travail scientifique de l’UCL, 19 avril 2020

[ 1] Communiqué UCL,« Macron prépare une coupe pour les employeurs », 14 avril 2020.

[ 2] Marcelo Wesfreid et Tristan Vey, « Réouverture des écoles : Emmanuel Macron a-t-il été influencé par une étude de Didier Raoult ?  », Le Figaro, 14 avril 2020.

[ 3] « Coronavirus : 18 millions de Français en danger restent restreints après le 11 mai », Les Échos, 15 avril 2020.

[ 4] « Apps, drones… l’alibi sanitaire d’une surveillance générale », Alternative Libertarian, mai 2020.

[ 5] contre une toutes les 6 heures pour les virus de la même famille : Nicolas Martin et l’équipe de La Méthode scientifique, « Coronavirus : la mutation continuo », France Culture, 26 mars 2020.

[ 6] « L’épidémie de coronavirus Covid-19 disparaîtra-t-elle en avril grâce à la chaleur, comme l’assure Donald Trump ?  », France Télévision, 12 février 2020.

[ 7] Diminution du taux de reproduction R0, le nombre moyen de personnes infectées par la maladie, de 48% entre marset juillet.

[ 8] Le virus ne se détériore qu’à 56 °C pendant 30 minutes et à 65 °C en 10 minutes environ.

[ 9] Exemple récent : SRAS 2002. L’épidémie a été évitée en interdisant l’utilisation de la civette (espèce réservoir de ce virus) et en n’attendant pas l’été.

[ 10] « Coronavirus : nouvelle vague d’infection dans les pays qui pensaient que l’épidémie était sous contrôle », Europe 1 avec AFP, 22 mars 2020.

[ 11] Coralie Lemke, « Peut-on être infectés deux fois par le coronavirus Covid-19 ?  », Science et avenir, 3 mars 2020.

[ 12] Groupe de travail scientifique de l’UCL, « Pathways for group immunité : inclusion vs laissez-faire », 12 avril 2020.

[ 13] Laura Di Domenico, Giulia Pullano, Chiara E. Sabbatini, Pierre-Yves Boëlle et Vittoria Colizza, « Impact attendu du verrouillage en Île-de-France et stratégies possibles de sortie », Inserm, 12 avril 2020.

Source : votrejournal.net

Y aura-t-il une seconde vague de coronavirus cet hiver ?